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 Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]

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AuteurMessage
Leith Jones
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Date d'inscription : 31/07/2013
Leith Jones
Sujet Gamma
MessageSujet: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptyJeu 1 Aoû - 20:39

Leith Jonessujet
vos papiers s'il vous plait !




Ancienne identité : Alec Bloom
Prénom et nom choisis : Leith Jones
Âge : 20 ans
Date et Lieu de Naissance : 23 septembre, Sidney
Nationalité : Australienne
Statut : Musicien
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Avatar : By Andrahilde

Hold your breath


et derrière l'écran ?



Pseudo : Plusieurs c: Âge : 21 ans Disponibilité RP : Variable ~ Comment as-tu découvert le forum ? Via un top site, celui de CdA c: Un petit mot ? J'adore vos smileys Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] 2773685088





description psychologique

désabusé + calme + musicien + réaliste + conciliant

Leith ne fait pas partie de ces gens qui veulent profiter de tout, à tout prix, tant que cela leur est encore permis. Non. C'est quelqu'un de réfléchi, qui se permet peu de folies, ne voyant pas bien ce qu'elles pourraient apporter de plus à son train de vie actuel. Il a souvent ce goût amer dans la bouche. Vous savez ce que c'est, à force, ça s'efface plus. Perpétuel désabusé, il lui arrive, de ce fait, de se montrer parfois sarcastique. Sans réelle animosité malgré tout, il saurait sûrement se montrer drôle, si l'envie le gagnait. Qu'en sais-je ! Les déceptions lui auront par ailleurs appris à se montrer plus réaliste, avec les gens, les choix, et leurs conséquences. C'est pourquoi il a du mal à agir à l'instinct, à l'envie, à l'espoir. Peut-être aimerait-il parvenir à s'envelopper et se noyer de l'illusion d'une fin plus lointaine, plus vague, moins palpable. Mais ces jours, l'heure est aux questionnements, tantôt l'inquiétude, tantôt le soulagement, tantôt une forme de résolution, puis la révolte. Il y pense, ça l'occupe de pas savoir ou il va, et s'il y a une réelle utilité à aller quelque part. Y a-t-il une « bonne » attitude à adopter face à l'inévitable finalement ? Néanmoins précisons qu'il n'est pas un suicidaire prêt à passer à l'action.  Non. Il est juste blasé, et un peu tourmenté. Rien de bien grave quoi.

Sa naturelle retenue en font quelqu'un de discret, d'effacé, de passif parfois. Il n'a jamais eu vraiment le contrôle sur quoi que ce soit, ça ne le dérange plus de subir les événements et de laisser les autres choisir à sa place. Ou peut-être cela sera-t-il amené à changer. Il est la plupart du temps un garçon indolent, et réservé. Il n'est pas vraiment doué pour tisser des liens, alors il reste solitaire et casanier. Même si les relations humaines c'est pas son truc, il est très emprunt des règles de politesse, de la rigueur de l'étiquette. Ce qui pourrait en faire un type charmant, s'il savait en tirer avantage. Quoiqu'il en soit, il est doté d'une sensibilité propre, éveillée par la musique. Par son piano, par les mélodies qu'il en extirpe. Le piano pour lui, c'est comme crier, se libérer de tout et flotter, ici, ou là, c'est quand tout paraît simple et accessible, quand il peut « dire », quand il peut laisser filer tout ce qui lui passe par la tête et lui pèse sur le cœur. Pire que les cigarettes qu'il fume tout les jours, c'est pour lui une forme d'expression ultime qu'il parle à la perfection et dont il a besoin. Il est doué. Il possède l'oreille absolue. Il improvise, il reproduit, tout s'anime et prend forme au bout de ses doigts. Cette sensibilité en fait aussi un fin psychologue qui sait cerner rapidement les gens, en surface tout du moins. Il essaye d'éviter de se tromper sur eux. Pourtant, il n'a pas de difficultés à se remettre en question.

Même si les amis se comptent à peine sur les doigts de la main, Leith a une facette assez protectrice et emplie d'empathie. Ce n'est pas parce que la routine doucereuse d'une journée tranquille de lui et son piano en tête en à tête le ravi qu'il ne saurait faire preuve de soutient, quelque soit la forme que celui ci prenne, pour quelqu'un qui compte à ses yeux. Bien que réfléchi, quand il s'engage à donner, il donne et ce sans réelles limites. Attitude qui peut vous coûter, mais il semble l'oublier, paradoxalement. La raison implicite de cette démarche est simple, au fond. On donne pour recevoir, c'est le propre des échanges avec autrui. La reconnaissance qu'il espère, inconsciemment, prend une forme tout à fait importante, voir nécessaire. Mais sûrement l'ignore-t-il. Toujours est-il que la confiance est une question encore épineuse avec lui. Je pense que la dernière chose à souligner à son sujet, c'est son évidente capacité à se contenter de ce qu'il a. C'est aussi une des leçons que la vie a pu lui donner, se protéger coûte que coûte des regrets et autres maux que l'absence génère lorsqu'elle fait son apparition. Au moins tentait-il de se convaincre qu'il est capable de se contenter de ce que la vie reste à lui offrir. Mais j'ignore s'il en est à présent vraiment convaincu.


description physique

Le tour d'horizon sera rapide. Ce n'est pas un garçon baraqué et imposant. Sans être menu et frêle, il est fin et assez grand. Sa démarche discrète n'en est pas moins gracieuse et lui confère, malgré sa réserve, une certaine présence. La rigueur de son éducation et de l'apprentissage musical lui ont appris à se tenir toujours droit. Peut-être semble-t-il un peu rigide à première vue. Quoiqu'il en soit, il prend aussi soin de lui et de son apparence, toujours fringant et frais. Il se laisse parfois pousser un peu la barbe, et abhorre souvent une coupe faussement décoiffée. Ses cheveux bruns foncés, presque jais, se marient bien avec le vert soutenu de ses yeux. Ils encadrent efficacement un visage plutôt plaisant, bien qu'un peu creusé par endroits. Il a néanmoins des traits assez fins et doux, mais un regard éteint, comme endormi, latent.

Il porte des tenues tantôt élaborées tantôt simples... selon son humeur et ses préoccupations du moment. Le paraître a peu d'importance à ses yeux, quoiqu'on en pense. Il ne porte que très rarement des couleurs trop vives, il préfère se contenter de couleurs sobres, passes-partout, parfois classes, ce qui colle mieux à sa personnalité. Vous le verrez souvent une clope à la main, mauvaise habitude qui malheureusement a l'air de vouloir le suivre encore un moment.




Dernière édition par Leith Jones le Sam 3 Aoû - 14:17, édité 11 fois
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Leith Jones
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Date d'inscription : 31/07/2013
Leith Jones
Sujet Gamma
MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptyJeu 1 Aoû - 20:39

racontez-moi donc votre histoire


Bien qu'il ne l'apprenne que peu de temps avant son arrivée sur l'île, Leith n'était le fruit que d'une idylle sans lendemain, quoique classique, entre son père et sa très jeune secrétaire de l'époque. Comme un mauvais feuilleton. Il n'avait qu'un an quand son père, patron d'une grande boîte d'immobilier à Sidney, rencontra celle qu'il identifiera comme sa mère pour les 16 ans à venir. Il était donc issu d'une des sphères aisées de la société, l'argent ne manquait jamais, la vie était belle en somme. Sa mère était une belle femme, elle ne travaillait néanmoins pas, préférant les séances au spa et les soins de l'institut de beauté pour combler ses journées. Son père lui, de par son poste était un homme occupé et rarement à la maison, au grand dam de Leith.

Il avait quatre ans.

« Mon grand, tu sais que Papa est obligé, c'est pour toi et ta maman. Tu le sais bien hein ? Comment je pourrais me faire pardonner dis moi ? »

Le petit bonhomme fait la mou alors que la grande main de son père s'abat sur ses cheveux en bataille. Il avait promis pourtant d'être là hier soir, son papa, au moins pour lui lire l'histoire que Leith avait sélectionné avec tant de soin en attendant son retour à la maison. Mais encore une fois il avait du se résoudre à fermer les yeux dans le silence froid de la grande chambre pour s'endormir tout seul, comme un grand. Du haut de ses quatre ans, il défiait le regard de son paternel et fronçait faussement les sourcils. Oui, ils étaient plutôt complices.

« On peut la lire ce soir ? S'il te plaît ! »

Résigné, et avec amusement, son père entama le récit alors que Leith se glissait confortablement sous les draps frais de son lit d'enfant. Bercé par la voix régulière et profonde, il s'endormit bien vite, et heureux.

Il avait six ans.

« Aller, dis moi ce que c'est ! »

Il ne cachait pas sa curiosité enfantine. Son père lui avait acheté un grand et beau piano, une très belle pièce, au son clair et léger, jeune. Voilà déjà un an qu'il étudiait le piano avec un professeur de renom. C'était pour lui un fabuleux moyen d'occuper ses journées et son temps libre. Cela le rendait assurément assidu et consciencieux. Il empruntait, malgré lui, tout de l'attitude de son professeur tellement il l’idolâtrait à cette époque. Il se tenait droit, il prenait une mine très concernée et grave lors de l'interprétation de ses morceaux. On s'était rendu vite compte qu'il possédait l'oreille absolue, ce qui l'avait poussé à s'entraîner, et commencer ces cours de piano et de solfège.
La vie ne se passait pas trop mal. Pendant huit ans encore, son quotidien serait ponctué des absences de son père, de la distance avec sa mère, et de longues heures devant son piano. Il ne s'entendait pas bien avec cette dernière, et bien que souvent en désaccord, il apprit rapidement à s'adapter pour qu'elle lui fiche la paix, à comprendre qui lui fallait lui dire ce qu'elle voulait entendre. Son père et lui passait peu de temps ensemble, mais durant ces courtes périodes, il lui donnait toujours une importance toute particulière et insistait pour l'entendre jouer. Leith était content et fier d'avoir un père pareil, et lui donnait toute sa confiance et son amour, sans réserve. Il avait conscience de tout les sacrifices qu'il faisait pour voir sa famille ne manquer de rien.

Il avait quinze ans.

Un scandale financier éclate, faisant paraître au grand jour les manœuvres que son père a mises en place pour s'enrichir illégalement, sous la façade protectrice de son entreprise. Après quelques mois de procès, malgré le travail acharné d'avocats forts coûteux, le juge donna son père coupable sur plusieurs des chefs d'accusation qui pesaient contre lui. Il était condamné à plusieurs années de prison, et à la saisie d'une partie de ses biens. Ce fut difficile de voir sa confiance ainsi bafouée, tout ces mensonges. L'argent est dégoûtant. Leith ressentait une forme de colère. L'argent l'importait peu, il se raccrochait à d'autres choses jugées plus importantes. C'est toujours le cas d'ailleurs.
Pour sa mère, ce fut la dégringolade la plus totale. Elle avait toujours vécu aux crochets des autres et s'imaginait mal travailler maintenant. Quand cela devint nécessaire, elle ne put pourtant plus reculer. Elle servait dans le café en bas de la rue où ils s'étaient installés. Il ne leur était pas resté grand chose après l'arrestation du chef de famille, après les frais d'avocats, et la saisie. Leith détestait l'endroit dans lequel ils s'étaient installés. Pas parce que le luxe lui manquait. Non. Il étouffait avec cette femme, avec toutes ces cigarettes qu'elle fumait du lever au coucher, avec ses hommes qu'elle ramenait parfois, se croyant discrète lorsqu'elle ne l'était pas, infidèle et intéressée, avec toute sa mascarade et ses apparences. Les disputes éclataient souvent entre eux à cette période. C'est comme ça qu'il apprit – avec le recul, à son grand soulagement - qu'elle n'était pas sa mère biologique. Il ne serait pas malveillant comme elle.


Il avait dix-sept ans.

Malgré sa bonne volonté évidente, sa mère laissa tomber son travail cette année là, certaine que sa nouvelle conquête subviendrait à ses besoins le temps qu'elle lance les procédures de divorce. Quelle déception de voir ce jeune friqué la laisser tomber pour une jolie blonde bien plus jeune qu'elle. Ah oui, c'est digne d'un mauvais feuilleton je vous l'avais dit. Tout dissonait en cette femme, mélange informe de désespoir, de tabac et d'avidité.
Leith passait le moins de temps possible chez lui. Déçu de ses fausses idées et de ses proches, déçu de voir que l'optimisme ne vous mène pas très loin. Il rendait de moins en moins souvent visite à son père. Il allait en cours, il sortait faire la fête, se faisait payer quelques unes de ses prestations musicales, il découvrait les filles. Pourtant tout ça n'avait pas vraiment la saveur à laquelle il s'attendait. C'est fade, il manque quelque chose. Alors il se réfugie dans la musique, dans les mélodies qui lui produisent encore de réconfortantes étincelles, cette chose qui manque au reste, il criait sa colère à coup de do, de ré, de sol, il soupirait sur des fa, des la.

Il avait dix huit ans.

Il rentrait de classe, passablement fatigué. Sa mère ne travaillait plus depuis un an déjà. Elle ne toucherait pas le chômage bien longtemps encore. Il n'était pas allé voir son père depuis plusieurs mois. Il y avait du monde chez lui, mais il ignorait de quoi il retournait. Peu importe. Il posa son sac dans l'entrée avant de se glisser discrètement dans sa chambre. Elle lui semblait vide. C'était il y a deux mois, elle a décidé qu'il fallait vendre son piano. Après tout, c'était une pièce remarquable et elle ne voyait pas pourquoi elle aurait été la seule à faire des sacrifices.

« Faut bien qu'on mange Alec, tu peux comprendre. »

Il s'approcha de l'endroit dans lequel il trônait depuis trois ans, effleura le mur du bout des doigts, les yeux perdus dans le vague, pensif. Ah mais il avait bien compris. Il ne mangeait pas mieux, par contre les sorties de sa mère étaient moins espacées, sa garde robe mieux remplie. L'odeur de clope persistante imprégnait encore plus les murs du petit appartement. Il s'était mis à fumer lui aussi, de temps en temps.
Il n'avait pas aperçu tout de suite les silhouettes qui se dessinaient derrière la porte entrouverte.

« Ton père voulait que j'agisse. Pour l'avenir, pour ton avenir. C'est lui qui me l'a demandé. C'était un choix difficile tu sais. »

À ce stade, il ne doutait plus de sa bonne foi.

Il a vingt ans.

Il est sur l'île depuis deux ans maintenant. Il enchaîne les petits boulots par ci par là, jouant dans les bars ou les restaurants pour l'ambiance, au théâtre aussi. Il mène une vie simple, sans poser de problème à quiconque. Il songe à dispenser des cours particulier à qui le voudrait bien, dans un futur proche.



Dernière édition par Leith Jones le Sam 3 Aoû - 13:18, édité 2 fois
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Blondie Grubbs
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Blondie Grubbs
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MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptyJeu 1 Aoû - 21:05

...

*s'étouffe devant autant de sexyness*

Bienvenue (encore) Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] 3811010841

(j'ai pas pensé que t'aurais peut-être besoin de plus de place pour ta fiche D:, dis moi par MP de supp' mon message si tu manques de place x))
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Leith Jones
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Leith Jones
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MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptyJeu 1 Aoû - 21:15

Marci contente d'être à ton goût Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] 3710855523
Et pas de soucis, j'ai bien fait deux posts D: ça devrait suffire 3:
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Leith Jones
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Leith Jones
Sujet Gamma
MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptySam 3 Aoû - 13:39

Et bien finalement, j'ai été terriblement rapide, c'est une grande première \ô/! /autofélicitation J'annonce donc que cette fiche est selon moi, finie !
J'espère que c'est en règle et que c'est assez digeste. C'est surement un peu maladroit par endroits, mais j'ai pas RP depuis un bail, je me replonge dans le bain tranquillement Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] 2913199622

EDIT : je pensais pouvoir supprimer mon post précédent pour pas faire un double poooost. Mais ça veut pas. Disoulé ._.
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Dawn Miller
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Dawn Miller
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MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptyDim 4 Aoû - 13:34

Très belle fiche, j'aime beaucoup ton personnage (et effectivement, god, que de sexiness) - et pas de problème pour le double-post, t'en fais pas !

Tu seras un sujet Gamma
Ancien dossier identitaire classé.


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Leith Jones
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Leith Jones
Sujet Gamma
MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] EmptyDim 4 Aoû - 14:04

Owai, merci bien Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] 2148533911 ♥️
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MessageSujet: Re: Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]   Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI] Empty

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Leith ♦ There’s no light in your eyes [FINI]

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