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 Welcome to my world of madness (Prez lawerance C. Pheles)

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Lawerance C. Pheles
Messages : 4
$ Dollars : 5
Date d'inscription : 04/08/2013
Lawerance C. Pheles
MessageSujet: Welcome to my world of madness (Prez lawerance C. Pheles)   Welcome to my world of madness (Prez lawerance C. Pheles) EmptyDim 4 Aoû - 21:29

lawerance C. Phelesscientifique
vos papiers s'il vous plait !




Nom : PHELES
Prénoms : Lawerance, Camil
Âge : 29 ans
Date et Lieu de Naissance : 01.09.1986, Antibes, France.
Nationalité : Française
Statut : Chirurgien
Orientation sexuelle : Bisexuel
Poste occupé : Médecin de campagne, vétérinaire, hacker à ses temps perdus
Spécialité : Les causes perdues
Avatar : Trafalgar Law, One Piece

Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser le rôle du méchant.


et derrière l'écran ?



Pseudo : Lawerance Âge : 18, sous peu Disponibilité RP : 5/7 Comment as-tu découvert le forum ? Grâce à l'amour de ma vie? Lyyyn Un petit mot ? Superbe un peu trop clair pour bien tout lire, peut-être un "gray" pour la police d'écriture? Sinon parfait, maestro^^ déco.




description psychologique

Souriant + calme + sympathique + légèrement paranoïaque + sadique

Tu restes calme, tes mains agiles travaillant tranquillement sur le cadavre encore tout frais. La mort de Amélie Brown, 24 ans, 1 mètre 54 pour 52 kilos, ancienne pensionnaire, ne te fait ni chaud ni froid. Sa sombre beauté provenant de ses cheveux noirs, cette masse capillaire si longue et bouclée tant de fois louée, et ces yeux d'un bleu séraphique, à jamais clos, ne t'émeut pas plus qu'une porte de prison. Les corps sont les mêmes, à l'esthétique variée, certes. Et puis, tu n'es pas là pour passer une nuit entre ses cuisses, mais pour l'étudier.

Tu glisses ton bistouris sur le côté, découpant une fine lamelle de cerveau. D'un geste leste, les pinces la récupèrent avant de la préserver à l'abris, dans un bocal rempli de formol. A côté sont exposés d'autres récipients de verre, tous pleins d'organes et de bouts de peau. Tous sont méticuleusement découpés, révélant le talent tout aussi bien que l’application du jeune médecin légiste.

Cette occupation te tient lieu de passe-temps. Morbide pour le commun des mortels, passionnante pour toi. Ce n'est pas faute de t'être fait proposer d'autres activités. Cependant, ton penchant pour le sang et la chair humaine ne serait être satisfait autrement.

Tu aimes le rouge. Le rosé, aussi, de la peau, de la chair. Tailler à vif, ouvrir le corps et en sortir son contenu, c'est ce qui t'a toujours ravi. Attablé devant ton patient, tes couverts en mains, tu ne fais qu'une bouchée des cas réputés les plus difficiles. C'est ce qui a fait de toi le plus jeune chirurgien connu, cette soif et cet amour de connaissances médicales.

Il faut également avouer que tu y prends ton pied. Découper les humains est une manière comme une autre de te défouler de tes pulsions sadiques, refoulées en galante compagnie, vomies lorsque tu es seul, ou lorsque la pression est trop forte. Les cris, les pleurs, la souffrance...Tout ceci sonne comme une mélodie à tes oreilles.

Après, bien sûr que tu n'es pas un psychopathe. Loin de là. Juste que tu prends plaisir à voir s'allumer dans les prunelles de tes vis-à-vis cette lueur de peur, de défiance et de respect forcé.

Si tu exerces la violence ? Uniquement lorsque nécessaire. Et encore es-tu très patient.

Entièrement dévoué à ton travail, tu y es marié. Tu n'es tombé amoureux qu'une seule fois. Un amour tragique, à sens unique, et enterré. Ta première patiente, ton premier cas. Morte entre tes bras un jour d'hiver.

Peut-être que ta hargne, presque cet acharnement thérapeutique que tu fais subir à tes malades, te vient de là ? Qui sait... Personne ne t'a posé la question, et tu te garderais bien d'y répondre.

En public, tu es un homme amical, souriant, parlant peu, mais blaguant souvent. Les amis, du moins ceux s’appelant ainsi, car tu n'as pas d'amis, seulement des connaissances plus ou moins proches, peuvent compter sur toi s'ils en ont besoin. Une seule chose leur sont interdites : venir chez toi. Restaurants, sorties en boîtes, prendre un verre...Pas de soucis. Mettre un pas sur ton paillasson, hors de question.

Paradoxe. Tu es un paradoxe, et tu le sais. Tu en joues, parfois. Souvent. Pour passer le temps, car tu es facilement ennuyé, même si tu ne le montres jamais.


description physique

L'homme avance dans le noir. Ca ne lui fait pas peur, cette nuit sans lune, ce ciel sans étoile. Ses pas sont réguliers, les talons de ses chaussures hors de prix claquant sèchement sur les pavés. Il sourit, comme toujours, le haut de son visage caché aux regards de la foule par un étrange couvre-chef.

Sa démarche chaloupée attire plus d'un regard sur ses longues jambes interminables, mises judicieusement en valeur par un jean moulant. Les taches noires imprimées dessus prennent l'apparence d'empruntes félines, mais avec la faible luminosité présente, on ne peut jurer de rien. Au moins pouvons-nous décrire son pull à manches longues et capuches, jaune et noir, sur lequel s'affiche un drôle de symbole. Une figure souriante ? Un soleil ? Un virus ? Ou encore autre chose ?

On aimerait l'arrêter, lui demander plus de précision sur son accoutrement peu commun, et pourtant si populaire parmi les étudiants, ah ! L'indémodable trio jean-pull-baskets ! S'il n'avait déjà disparu de notre vue.

Il s'arrête face à un bar, son sourire étirant toujours ses fines lèvres. Les néons projettent une lumière crue sur sur visage ; sa peau ressort brune, d'un brun dorée cependant, signe de son sang méditerranéen. Il lève la tête vers l'enseigne se balançant doucement sur ses gonds, puis se décide à entrer.

Se découvrant sitôt passé la porte de vois et d'acier, ses yeux, deux robes gris, clignent deux fois avant de s'adapter à la luminosité ambiante. Sa courte chevelure noire aplatit par sa casquette blanche à pois noirs, il passe une main aux doigts effilées dedans, y remettant un semblant d'ordre, attirant surtout l'attention sur ses tatouages. Des mots, un seul en fait, tatoués sur les deux mains. Une lettre pour chaque doigt. Death. Sur le dos, un étrange soleil noir à quatre branches. A moins que ce ne soit une boussole ? Etrange, tout de même...

La chaleur étouffante de l’endroit lui fait relever ses manches noires, découvrant de nouveaux dessins. Cette fois-ci, il s'agit d'un gouvernail entouré d'un cercle hérissé de piques, toutes dirigées vers l'extérieur.

Il ne les montre pas tous. Certains resteront cachés, tels des joyaux dans un coffre fort. Pour les découvrir, il vous faudrait être son amant d'un soir, ou d'une semaine, ou...D'une vie, même si cela n'est pas dans son caractère d'être fidèle en amour.


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